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Terres et cendres
Prière d’insérer

Nous sommes ici en Afghanistan, et plus précisément pendant la guerre de l’Union soviétique. Un jour, les talibans jettent une bombe sur un village qui fut complètement saccagé. Drastaguir, un homme plutôt âgé, va se rendre à la mine avec son petit fils Yassin qui a perdu l’ouïe, pour rendre visite à son fils mais aussi pour lui dire que le village où vivent a été détruit par les talibans. Beaucoup d’épreuves attendent le grand-père qui est accompagné de son petit-fils pour annoncer à son fils que tous les villageois sont morts sauf eux, ce périple sera très fatiguant pour les deux personnages autant physiquement et moralement. Tout au long de son voyage, Drastaguir et son petit-fils rencontre beaucoup de personnes comme eux, qui ont dû quitter leur village pour survivre des conséquences de la guerre. Drastaguir au fil du temps commence à avoir des hallucinations et il ne sait pas comment il va annoncer la nouvelle à son fils. En plus, il doit s’occuper de son petit-fils qui a du mal à comprendre pourquoi il n’entend plus rien.
Deux thèmes sont présents dans cette histoire, ce sont la guerre d’Afghanistan qui à cause d’elle, a détruit un village qui n’avait rien à craindre et elle a détruit beaucoup de vies. L’autre thème est le lien familiale, parce que Drastaguir veut que son fils se venge de ce que l’on leur a fait et s’il ne le fait pas se serait comme regner les siens.
Atiq Rahimiest né le 26 février 1962 à Kaboul en Afghanistan. Il a vécu la guerre de son pays de 1979 à 1984, puis il se réfugie au Pakistan. Il demande l’asile politique à la France et celle-ci lui accorde en 1984. Il s’installe à Paris pour finir ses études dans un lycée Franco-Afghan et il obtioent plus tard son doctorat en communication audiovisuelle. En 2004, Atiq Rahimi fait un long-métrage sur son roman “Terres et cendres“ qui obtient un prix au festival de Cannes.