La peine de mort
Pour ou contre la peine de mort Environ 17.833 personnes sont sous le coup d’une sentence capitale à travers le monde, tels sont les chiffres recensés en 2010 par Amnesty International. Alors que certains pays qui appliquaient la peine de mort ont voté des lois mettant fin à cette pratique, 58 pays pratiquent encore la peine de mort et utilisent au choix, la décapitation, l’électrocution, la pendaison, l’injection létale ou la fusillade. Par rapport à la problématique de la peine de mort, les défenseurs du rétablissement ou du maintien de cette sanction s’opposent à ceux des défenseurs de son abolition. En ce qui me concerne, je désapprouve le principe même de la peine de mort de même que les techniques utilisées pour la mise à mort des condamnés qui vont à l’encontre des droits de l’homme.
Pour commencer, les techniques utilisées pour la mise à mort vont à l’encontre du droit à la vie inscrit dans la Déclaration des droits de l’Homme. Ces techniques ne sont pas tout le temps utilisées à bon escient. Angel Diaz, un homme et une femme iranienne en sont de parfaits exemples. Le premier a été exécuté par injection létale et a dû souffrir pendant 34 minutes avant que sa mort ne soit proclamée et les deux autres ont été lapidés pour avoir eu des relations sexuelles en dehors du mariage. Le but de la peine de mort étant de mettre fin à la vie du prisonnier autant que cela soit bref, car il faut savoir qu’il y a des prisonniers qui restent parfois des années dans les couloirs de la mort sans savoir quand on viendra les chercher pour les mettre à mort, mais il ne faut pas oublier que derrière chaque prisonnier il y a aussi une famille, et celle-ci ne doit pas être sanctionnée. Un autre problème en ce qui concerne la peine capitale, est la possibilité d’une erreur judiciaire. Quand on exécute quelqu’un, il n’y a plus lieu de le ramener à la vie. Il y a beaucoup de cas d’erreurs judiciaires rapportées ; ainsi depuis 1973, 138