La peinture au xixeme siécle, du romantisme au réalisme
I- Deux écoles artistiques
A) Le romantisme en peinture
1.
« Voyageur contemplant une mer de nuages » de Friedrich
Caspar David Friedrich était allemand.
2. Géricault évoque le naufrage d’une frégate au large de Sénegal dans son tableau « Le Radeau de la Méduse ».
3. L’auteur français que Delacrois fréquente régulièrement dans les années 1826 est Victor Hugo.
« La mort de Sardanapale » de Eugène Delacroix
« La liberté guidant le peuple » de Eugène Delacroix
« Femme d’Alger » de Eugène Delacroix
4. La peinture romantique cherche très souvent à mettre un lien entre l’Homme et la nature dans ce qu’elle a de grandieux et de mystérieux. De plus, elle exalte des sentiments intimes et surtout humain. Aussi, il y a fréquemment un contraste entre les couleurs obscures et claires. De plus, on rencontre pas beaucoup de mouvements dans le romantisme, le tableau représente souvent une scène congelée.
B) Le réalisme en peinture
5. Au XIXème siècle, le terme « réalisme » est appliqué de façon péjorative à la toile « L’origine du monde » de Courbet. Le tableau représente le sexe et le ventre d’une femme allongée nue sur un lit, les cuisses écartées, et cadrée de sorte qu'on n'en voit rien au-dessus des seins ni en dessous des cuisses. En effet, il montre, «L’origine du monde », c’est-à-dire appareil genital féminin. Ce réalisme de Courbet déplait énormement le public. Les dimensions de cette toile sont de 46 cm × 55 cm (H×L).
6. Les quatres peintres qui se réclament de l’école réaliste sont :
Corot « Le chemin de Sèvres »
Millet « L’Angélus »
Manet « Café concert »
Courbet « Les Demoiselles des bords de la Seine »
7.