La peste albert camus c.l
L’extrait en question se situe a la fin du roman et correspond à son épilogue, la maladie s’est enfin dissipée ,la ville d’Oran après beaucoup de souffrance et de perte fête sa libération .
L’exaltation des habitants devant ce fléau passé laisse apparaître encore des traces , le narrateur dévoilé , le docteur Rieux rédige cette chronique ,ainsi Camus souhaite garder un souvenir de cette lutte admirable et des dégâts engendrées .
Axes :
1 :Opposition Réjouissance de la ville / Fléau
2 :Intention de camus : paradoxe ?
1
Le cauchemar terminé , les Oraniens sont en exultation . Le bilan des morts et la souffrance qu’ils ont subit est pourtant lourd et marquant.
Cette (opposition/ contradiction) ce ressent par la jubilation de la ville qui est mit en avant dés les première lignes du passage : « …les premières fusées de réjouissances officielles . »
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La ville est en éclat , l’utilisation de figures de style tel que l’oxymore : « une longue est sourde exclamation » crée une réalité poétique et permet de penser que cette « exclamation » correspond au réveil de la cité et pour ainsi dire à sa renaissance .
Elle se manifeste également par de nombreuse métaphores , certaine sont associée a une idée de mort , la joie et le mal sont alors confondus , voir dépassé : « les gerbes multicolores s’élevaient plus nombreuses dans le ciel » ; « les cris d’allégresse qui montaient de la ville ».
2
Ce sentiment de triomphe est tel que le malheur qui s’est abattu semble être oubliés ( « tous, mort ou coupables ,étaient oubliés »), signifie t’il réellement la fin du malheur ?
D’après Camus