La peste Chapitre 5
Albert Camus né le 7 novembre à Mandovi en Algérie et mort le 4 janvier de 1960 à Villeblevin, en France. Ce 2013 passé fut le centenaire de sa naissance. Albert Camus est un romancier, dramaturge et journaliste amant de la philosophie. Il reçoit le prix Nobel de la littérature en 1957.
Son œuvre la peste, est un roman allégorique qui peut être interprété de multiples façons.
La Peste appartient au cycle de la révolte qui succède à celui de l’absurde et qu’inclus Les justes et L’homme révolté publié en 1951.
La Peste est publiée en 1947, quelques années après la seconde guerre mondiale, où camus s’engage dans la gauche, voire dans les mouvements révolutionnaires et écrit pour un journal clandestin appelé « combat ». Mais Camus parle du projet de l’écriture du roman dans ses carnets depuis 1942.
Le texte que je vais traiter s’agit d’un extrait de la Peste qui se situe dans le cinquième chapitre de la cinquième partie, laquelle j’ai nommé « fin de la chronique et le vraie devenir de la peste »
Dans cet extrait on voit l’allégresse des habitants de la ville d’Oran le dénouement du roman et la vision de Rieux face à la disparition de la peste.
2) LECTURE
On s’interroger donc : quelle(s) est (sont) la(les) fonction(s) de ce dénuement ?
-Dans un premier temps, on exposera une ville joyeuse par la disparition de la Peste
Dans un deuxième temps, on verra une victoire non définitive, un mal caché qui ne finirait pas jamais.
Pour en fin étudier la portée philosophique de l’extrait.
I. Une ville joyeuse par la disparition de la peste
a. Disparition de la peste et la joie des Oranais -“nuit était celle de la délivrance, et non de révolte” la lutte est achevé
-“Dans la nuit maintenant libérée” On voit que la ville était libre
-On voit une ville qui célèbre la disparition de la peste avec le Champ lexical de joie “cris d’allégresse” “les premiers fusées des réjouissances