hhomlcflfldlddmd'dnd mdsmdlxkxkxkxoxxlxlx mdsmwnwkx mdnwwnwk. Sksislssnwkw kddkwkwkw lslskw Kddkspxnwjdospspskwj osjdsisoosd ldlddldlsmqmsjdkdkso dldldldldlpsqmsmslwlslsldkxkxkxk dldldldldl dldldldldl'c'ickfnf kdichsmqixjfblx kdkdnsmsusbfmaodur kdkzpabrucnrpa mfidbakeofurbtigoab flfpg'riaudbf ldbdifofoenajsifjdut kdicbdusieozpajwbxyutpzkxhy kfkdozlsjxudbe kdkdkdnd Jdkzbahwodpqhajfifps eisldlcjdbe smabxiforpemalabdyxifodpemzmd idospamahxudi lalsndjfididkdkdkdkdkdkdkdkddjdjjdjdkdjdjdjdjdjjdjdjdjdjdjdd- jjddjjdjzjejenrbrbrjfkfificicickckkcckjcckjfkdjdjzjzkdkdldld- lxlcocoviviviciggiigigififfkfkkfifellzkzbehdjfickfkdkfkfkfkk- dkdkLa philosophie, du grec ancien φιλοσοφία (composé de φιλεῖν, philein : « aimer » ; et de σοφία, sophia : « sagesse »), signifie littéralement : « l'amour de la sagesse ». C'est une activité et une discipline existant depuis l'Antiquité en Occident et en Orient, se présentant comme un questionnement, une interprétation et une réflexion sur le monde et l'existence humaine. Différents buts peuvent lui être attribués : la recherche de la vérité ; la méditation sur le bien, le beau, le juste ; la quête du sens de la vie et du bonheur.
La philosophie n’est pas un savoir, ni ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs disponibles[1]. Ancrée dès ses origines dans le dialogue et le débat d'idées, elle peut se concevoir comme une activité d'analyse, de définition, de création ou de méditation sur des concepts.
À la différence des sciences naturelles, des sciences formelles et des sciences humaines, auxquelles elle est intimement liée par son histoire, la philosophie ne se donne pas un objet d'étude particulier et unique. On trouve toutefois au sein de la philosdkdkdkdkdkdkdkddkkdkdkdkdkdkdjdkdkdkdkkdkdkdkdkdkdkdkd- idifgigigigiigigivivicicicicicivivivivivivivkfkdjznabzbabajz- jz dificifkkfkffkkfkfkfkdfkkdkfkfjkfkfjfjfjjffjjffjjfjfjfjfjdjd- jdjejdjejejejejejejebdbdbdbdbdbfbfbdfbbfbfbfbfbfbfbfbfbfbfbf- jzkdkdkeLa