Depuis l'apparition des hommes sur Terre, la femme a toujours été considérer comme le sexe faible. Il semblerait que notre société a du mal à enlever cette image préconçue de la femme. C'est tout au moins ce qui se dégage de ce dossier composé de deux articles, d'un extrait d'une satire et d'un dessin. Nous allons nous interroger sur les stéréotypes de la masculinité et de la féminité imposée par la société. Nous évoquerons une société encore primaire, ensuite de l'image du genre féminin puis des évolutions possibles.

La société a changé. Malgré tout, il y a la présence d'imperfections entre les deux sexes. Dès la naissance d'un enfant, Judith Butler, auteur du roman "Trouble dans le genre" s'entretien dans l'article " Nous ne sommes pas sexuellement déterminés" publié dans l'Express le 6 juin 2005, dénonce une société qui cherche à imposer des normes pour représenter le sexe féminin et le sexe masculin. Elle constate alors que cette société souhaite faire coïncider l'un des deux genre avec le sexe de l'enfant. Cependant cette idée s'accompagne avec le fait qu' il faudrait, par la suite, envisager une éducation spécifique à chaque genre d'après Catherine David, auteur de l'article "Le cerveau n'a pas de sexe" extrait de Le Nouvel Observateur écrit le 24 Février 2005. De ce fait s'ajoute que l'homme et la femme ont des tâches biens définis imposé par Dieu que cherche Hubert Blatz a interprété dans son dessin intitulé "C'est Dieu qui l'a voulu" en 2006.
Ce dessin montre bien que la mentalité des hommes ne changent pas vraiment depuis l'apparition de la religion.

La place de la femme est un stéréotype qui se retrouve dans plusieurs sphères. Judith Butler constate que ce stéréotype est fixé dans la vie quotidienne à travers l'école, l'église et la famille. En se basant sur ce postulat, Catherine David ajoute que les filles et les garçons ont des atouts et des handicaps qui se manifeste par les différences des gènes entre les deux sexes. C'est pour cela