La progression dramatique dans la femme adultere
8 Avril 2013
FLF 492
La Progression Dramatique dans La Femme adultère d’Albert Camus
Albert Camus est un auteur français pied-noir qui est né, a vécu, et a écrit beaucoup sur son pays d’enfance : l’Algérie. La Femme adultère est une nouvelle dans sa collection L’Exil et le royaume publiée en 1957, un de ces derniers récits de fiction. La Femme adultère se passe dans le désert Algérien quand Marcel, un commerçant de tissue et le mari de Janine, insiste à sa femme de partir la ville pour l’accompagner sur son expédition financier. Au cours du voyage, Janine ressent de nombreuses émotions qui lui font refléter sur ses choix conjugaux et ce qu’elle a du sacrifié pour son mariage d’adéquation et de convenance. L’histoire progresse au delà de certaines réflexions sentimentales qui provoquent un changement psychologique dans l’esprit de Janine. La Femme adultère se passe à travers les yeux de Janine, et des le début, le lecteur peut apercevoir une sorte de séparation mentale entre Janine et son mari Marcel. Leur mariage est en sorte, un mariage de convenance, et Janine questionne leur amour plusieurs fois dans le texte. Le narrateur commence l’histoire avec une description d’une mouche maigre prisonnière de l’autocar. Dans un sens symbolique, la mouche est une comparaison de Janine ; tout les deux sont impuissants aux mains de Marcel et sans indépendance (Janine et prisonnière des contions sociopolitiques et la mouche est prisonnière de l’autocar). Plus tard dans le récit, Janine explique que le vrai amour de son mari est le commerce, l’argent. Par contre, cela est aperçu des le premier paragraphe dans le choix de mots dans les pensées de Janine « Elles (les mains de Marcel) serraient si fortement une petite valise de toile, placée entre ses genoux, qu’elles ne paraissaient pas sentir la course hésitante de la mouche » (164). Marcel, si englouti dans son marché, n’aperçoit pas la transformation psychologique et les besoins artistiques et sexuelles