La révision constitutionnelle camerounaise du 18 janvier 1996
LA REVISION DE LA CONSTITUTION DU 18 JANVIER 1996
Rédigé par :
MONFON YOUCHAWOU TOGNE
Chef de la Dynastie Nkouloun (MONFON NKOULOUN) Juriste de formation de l’Université de Yaoundé II SOA Consultant en Contentieux Administratif Chercheur en Droit Administratif et Constitutionnel Chercheur en Droits de l’Homme Généraliste de Droit Public, Droit Privé et Science Politique Conférencier (ès) Droits Ecrivain Juridique
DROIT CONSTITUTIONNEL
LA REVISION DE LA CONSTITUTION DU 18 JANVIER 1996
Rédigé par :
MONFON YOUCHAWOU TOGNE
Chef de la Dynastie Nkouloun (MONFON NKOULOUN) Juriste de formation de l’Université de Yaoundé II SOA Consultant en Contentieux Administratif Chercheur en Droit Administratif et Constitutionnel Chercheur en Droits de l’Homme Généraliste de Droit Public, Droit Privé et Science Politique Conférencier (ès) Droits Ecrivain Juridique
MESSAGE DE L’AUTEUR DE L’OUVRAGE
Ledit ouvrage juridique du Droit Public, plus précisément du Droit Constitutionnel est très primordial et fondamental pour tout citoyen, pour tout État, et plus particulièrement pour l’Etat du Cameroun qui est depuis le 18 janvier 1996 dans une crise constitutionnelle dramatique et catastrophique. Tout(e) lecteur(trice) dudit ouvrage doit être curieux pour mieux appréhender, saisir les principales motivations et mon avis sur la révision constitutionnelle. La Loi Constitutionnelle n°96/06 du 18 janvier 1996 portant révision de la Constitution du 2 juin 1972, au lieu que certaines dispositions de celle-ci soient changées ou modifiées, la Loi Constitutionnelle suscitée mérite une révision intégrale et non partielle. J’invite le
gouvernement de la République et tout autre organe habilité à réviser la Constitution de réviser intégralement et entièrement l’actuelle Constitution de la République du Cameroun. Cette Constitution appelée encore Loi Fondamentale, non seulement de sa crise de légitimité présente également « un caractère politique », et