la religion dans candide
Il se moque aussi de l’intolérance religieuse : un chrétien laisse un homme mourir de faim parce qu’il n’est pas protestant.
Dans ce chapitre, Voltaire se moque à nouveau des idées de ceux qui disent que tout va bien alors que les hommes se massacrent entre eux dans des guerres européennes (voir « guerre de trente ans » et « guerre de sept ans »).
Voltaire dénonce l’ingratitude de certains hommes à travers le comportement du marin.
Il se moque encore de Pangloss qui pense que tout est bien alors qu’une catastrophe naturelle vient de détruire une ville.
Voltaire se moque de la superstition religieuse qui fait croire aux fanatiques que l’on peut agir sur la nature en punissant les mauvais croyants.
Voltaire dénonce les mauvais traitements que des hommes font subir à d’autres hommes : non seulement certains sont massacrés mais ils sont vendus comme des marchandises et traités comme des esclaves.
En particulier, les femmes n’ont souvent rien à dire et sont privées de liberté.
Voltaire dénonce la différence de traitement entre les hommes selon leur religion : le prêtre est enterré avec les honneurs, le juif est jeté à la voirie. (aux ordures).
Dans ce chapitre, Voltaire résume ses critiques de l’ancien monde, l’Europe, et annonce ses espoirs dans le nouveau monde, l’Amérique.
Voltaire dénonce encore les atrocités que les hommes se font subir.
Il dénonce aussi la religion qui n’empêche rien de tout cela : les hommes prient tout en se massacrant.
Voltaire étend sa dénonciation à tout l'ancien monde : l'empire Ottoman, la Russie, l'Europe sont tous déchirés par les guerres.
Les musulmans ne sont pas plus raisonnables que les chrétiens et se massacrent aussi entre eux.
Voltaire se moque, comme dans le chapitre 1, des nobles prétentieux. [Il montre aussi ceux qui prennent excuse de leurs malheurs pour justifier une malhonnêteté, mais sans