la rencontre
- A bon moi aussi, je viens d'enmenager, vous n'avez qu 'a passer toute à l'heure pour boire un verre.
- Ok, je passe toute a l'heure, alors.
Mais Pelonis avait oublié qu'il avait quelque chose d'urgent à faire.
En arrivant devant la porte de cette dame il entendit un coup de feux et entendit quelque chose ou quelqu'un tomber. Il pris la fuite et se refugie chez lui. Trois heures passèrent sans bruit et tout à coup quelqu'un commança à siffler, il sorti et se retrouva nez à nez avec un pistolet entre les deux yeux. Il commança à paniquer et cria espèrant que quelqu'un l'entende, mais il ne savait pas que à cette heure il n'y avait personne dans l'immeuble et l'agresseur cria a son tour :
« Mais tais-toi tu va me faire repérer!»
L'agresseur pri Pelonis, le frappa sur la nuque avec son pistolet et le traina jusque dans son appartement. Mais les voisins de l'imeuble d'enfaçe on entenduent le coup de feux et ont tout de suite apeller la police, chose que Pelonis n'a pas fais mais aurait put faire. L'orsque la police arivat en-bas de l'imeuble le chef commanca à parler dans le megaphone et dit :
« Sortez ou nous entront »
Le truant s'aprochit de la fennêtre, cassa un careau et cria :
« J'ai un otage et je ne sortirais pas plutôt mourir.
- Tres bien nous entront. Dit le chef de la police.
- Non ! Surtout pas sinon je tue