La responsabilite societal des entreprises
Green is good » ! Junior Consulting l’a bien compris avec la mise en place de sa charte du développement durable en 2010 et l'obtention de sa certification ISO 14001, gage de la qualité de son management de l’environnement, en 2011. Mais si à travers sa politique de développement durable Junior Consulting magnifie son engagement pour une planète durable, cela n’est pas le cas de tous les joueurs sur le terrain des affaires.
Etat des lieux
Utopie pour les uns, perte de temps ou encore pur outil de communication pour les autres, la responsabilité sociale de l'entreprise peine à se tailler une place parmi les priorités de l’entreprise lambda. Pourtant, pour ce concept vieux d’un demi-siècle[1] déjà, l’heure est à la consécration. Oubliés les comportements « non responsables », il n’y a quasiment plus un seul site web professionnel où ne figure en gros plan la rubrique responsabilité sociale de l’entreprise, écocitoyenneté ou développement durable.
Tous responsables ou justes bons communicants ? La question reste posée ! La RSE, concept par excellence pour l’établissement d’un développement humain, social et environnemental durable est valorisée et acceptée de tous, mais pas vraiment pour les mêmes raisons. En effet ils sont nombreux ces business men qui ne voient en la RSE qu’une opportunité de balayer les fautes et irresponsabilités environnementales, sociales ou de gouvernance de l'entreprise, pour mettre en avant quelques actions de mécénat hautement médiatisées. Dès lors, leur RSE n’est autre qu’affaire de relations publiques, source de cynisme de l’opinion et un réel manque à gagner en termes de changement social.
La RSE, réel atout pour l’entreprise
A coup sûr, la RSE est un atout non négligeable pour l’image de l’entreprise. A ce titre, elle est souvent décrite comme rempart contre la crise de réputation. En protégeant de ce risque, elle devient un outil de risk management mais pas