La route du bling bling
Comme vous le voyez sûrement à travers votre station de travail (ou de jeux pour certains dont je ne citerai pas le nom), nos systèmes informatiques deviennent de plus en plus sympathiques graphiquement et incorporent de plus en plus de fonctionnalités. Jusque là rien de bien incroyable au pays des petits bisounours roses, c'est même un processus tout à fait honorable. Mais là où, personnellement, cela viens m'irriter, c'est quand je vois, qu'a vouloir ajouter des fonctions, on oublie le fonctionnel. Et oui, tant de « features », d'ajouts, alourdissent nos système, et finissent souvent par les rendre instables. Nous nous retrouvons avec plusieurs outils pour la même tâche, ce qui est, vous en conviendrez, ridicule. Dans cet article, je parlerai particulièrement des systèmes Unix. On change pas un linuxien endurci.
Introduction
Si vous êtes intéressé par le monde du libre, Traduction ; si vous êtes un gros barbu ermite qui sort un fois l'an pour vérifier si c'est l'apocalypse, vous avez sûrement entendu parler de la sortie de gnome 3, de firefox 7, unity et j'en passe. Les exemples suscités sont typiques de ce que je cherche à illustrer ;une sorte de course au graphique, aux innovations, quitte à en oublier les origines, et les fonctions essentiels. Alors, bien évidemment, c'est jolie, ça attire l'oeil, ça fonctionne facilement, mais l'arrière est beaucoup plus sombre. Dans l'absolue, et comme je l'ai dit plus haut, c'est un processus de création normal, et s'adaptant à son environnement qui est l'informatique, et qui s'améliore chaque jour. Normal donc de voir des applications de plus en plus graphique, de plus en plus «lourdes» étant donné que les ressources exploitables croissent. Seulement, j'ai la vague impression que tout ce barre vers un côté tape à l'œil. Serai en cause selon moi l'ouverture de notre cher banquise au grand public. Chose que je ne critique pas en soi. C'est fort bien qu'on se rende compte, enfin, que le pingouin