La rupture extrait de le metier de sociologue de pierre bourdieu, jean claude chanboredon, jean claude passeron
La Presse Ecrite En effet depuis le vote par l’assemblée nationale de la loi libérale sur la liberté de la communication sociale du 19 décembre 1990 et plus encore la suppression de la censure administrative préalable par la loi du 4 Janvier 1996, le nombre d’organes de presse écrite s’est multiplié de façon vertigineuses. Les journaux qui se comptaient a peine en dizaines entre 1966 et 1990 sont aujourd’hui estimés a plus de deux cents (200). La presse publique est représentée par le seul quotidien national bilingue Cameroon Tribune ; le reste étant des journaux appartenant a des groupes et individus privés. Parmi ces organes de presse on peut citer Le messager, Mutations, Le jour, La nouvelle Expression, La voix du Paysan ce ci pour la presse francophone ; et The Post, Eden, Star, The Herald pour la presse anglophone.
Le secteur privé conserve la primauté au Cameroun aussi en ce qui concerne les medias d’émissions : la Radio et la télévision.
Television
Pendants deux décennies, le monopole du secteur de l’audiovisuel a été celui du Service publique par la CTV et plus tard la CRTV. Et, depuis Le décret d’application (n° 2000/158 du 03 avril 2000) fixant les conditions et les modalités de création et d’exploitation des entreprises privées de communication audiovisuelle , le monopole de l’Etat sur les ondes a été abrogé.
Aujourd’hui encore la CRTV reste le seul media audiovisuel public le reste du secteur étant saturé par les organes privés dont la plupart émettent uniquement dans les zones urbaines. Ces chaines se sont carrément multiplié surtout du fait