L’état français a décidé de réguler l’activité bancaire par un ensemble de réformes. En effet actuellement les banques n’hésitent pas a prendre de gros risques systémiques en spéculant. Leurs gains sont souvent colossaux, a la hauteur de leurs risques entrepris et obtenu par de véritable cerveaux financiers appelé traders. Ces derniers perçoivent une grande rémunération variant selon les gains obtenu pour leur banque. En cas de perte ils n’en subiront pas les conséquences et continueront de percevoir leurs bonus garanties sur plusieurs années. Ce sont donc de véritables joueurs au sein d’un casino financier prenant des paris irresponsables afin d’arriver a leur fin. Cependant il ne faut pas négliger que les banques perçoivent 80% lorsque le paris spéculatifs d’un trader a fonctionné. Elles font donc aussi entièrement partit du jeux dans lequel elles sont l’un des principales acteurs. Il faut donc ceinturer directement leurs activités. En effet on ne peut pas laisser les banques agir de la sorte, cela peut engendrer en cas de perte, moins de crédit et donc une baisse de la croissance suivie d’une baisse de l’emploie. Pour faire face a cela les autorités financières proposent un stocke de capital durant les périodes de croissance afin d’être mieux préparé a faire face a d’éventuelles problèmes pouvant subvenir par la suite. Ils présentent aussi une politique macro prudentielle dont le projet est ambitieux et dont l’objectif est une progression « type » du crédit définit par les banques centrales par rapport au potentiel de croissance d’une économie. Cependant cette politique n’est pas encore totalement mis au point.
Les deux outils ci-dessus ne sont pas forcement suffisant pour esquiver une crise. Dans ce cas la un plan de secours s’impose afin d’éviter l’asphyxie. Les banques centrales proposent alors un refinancement plus fréquent ainsi qu’une détention de liquide et de bons du Trésor plus importante. Cela permet notamment aux banques de disposer de ressources