Travail pratique 1 : LIVRE I DE LA RÉPUBLIQUE

Département des sciences humaines
Cégep de Marie – Victorin
7 novembre 2008
INTRODUCTION

Le présent compte rendu portera sur l’ouvrage La République livre I : Les conceptions traditionnelles et sophistiques de la justice. De plus, il est important de différencier les éléments qui séparent la justice de l’injustice. Ainsi, nous pourrions reconnaître et respecter les droits de chacun, de sorte que, les abus, l’exploitation et même l’usurpation ne soient en aucun cas admissible dans la société de l’espèce humaine. Les personnes influentes de ce livre I débattent et définissent ce qu’est la justice. L’un d’entre eux est Céphale, marchand d’armes fortuné qui présume que la justice est de remettre ce que l’on doit. Ensuite, il y a Polémarque, fils de Céphale qui suppose que la justice est de remettre à chacun ce qui convient. D’autre part, le grand orateur et sophiste Thrasymaque définit la justice comme l’intérêt du plus fort. Bref, pourquoi ressent-on bien plus intensément l’injustice que la justice ? Dans ce texte, j’essayerai de prouver que la justice est signe de vertu et l’injustice est comparable à un vice. Tout d’abord, nous examinerons les théories de ces philosophes. Par la suite, nous verrons comment ces théories peuvent être combinées pour nous amener à définir le vrai sens de la justice. Enfin, nous ferons quelques observations susceptibles de valider notre approche.

DÉVELOPPEMENT
1. Résumé du livre I

L’histoire se déroule au Pirée (ville de Grèce et port d’Athènes, sur le golf Saronique), Socrate accompagné de Glaucon (le frère de Platon) évoque une conversation qui a eu lieu dans la maison du vieux Céphale. En premier lieu, Socrate et Céphale dialoguent sur le moment de vie qui mène à la vieillesse. De plus, les mythes et récits de l’au-delà troublent l’âme de ce vieux marchand, puisqu’on raconte que les fautes et les injustices commises sur