Conclusion rédigée de l’étude

Les modes de distribution du chocolat

Le marché du chocolat brièvement : 2.262 milliards d’euros. Chiffre d’affaires du marché français du chocolat en 2006 (production, import et export) : 445 000 tonnes. Volume de produits finis (32.1% en bonbons, bouchées rochers, 24.1% en tablettes, 18.6% en pâte a tartiner, 15.9% en cacao en poudre et 9.4% en barres).
La consommation moyenne d’un enfant est de 10g par jour et 3.8g pour un adulte. Dans mon étude je vais faire la différence entre le mode de distribution artisanale et industrielle du chocolat.

I. La distribution du chocolat de fabrication industrielle

A. Les circuits et canaux de distribution

*Pour les chocolats industrielle telles que la marque « Ferrero » ou encore « Lindt » il s’agit d’un circuit long en effet plusieurs intermédiaires vont acheminer consécutivement le produit au client.

*Pour les canaux de distribution, ils utilisent la grande distribution (qui intègre les fonctions de grossiste et de détaillant en utilisant une grosse quantité de marchandises).

B. Les intermédiaires

*Pour les intermédiaires « Ferrero » et « Lindt » et « Milka » utilisent le commerce intégré qui est également nommé « grand commerce » car les entreprises rassemblent des fonctions de gros et de détail en intervenant entre les producteurs et les consommateurs. (Ex : les hypermarchés (comme carrefour), les grands magasins (comme Lafayette gourmet), boulangerie, etc.).

II. La distribution des chocolats de fabrication artisanale

A. Les circuits et canaux de distributions

*Pour les grandes maisons de chocolat telles que « Léonidas » et « La Maison du Chocolat » il s’agit d’un circuit direct, en effet elle se fait « du producteur au consommateurs » et l’entreprise est productrice du produit et le vend directement.

*Pour les canaux de distribution, ils utilisent le commerce de détails (achat de marchandises pour les revendre aux consommateurs) et la vente par