La socialisation par les loisirs
Nous allons observer quel rôle ont ces activités sur nous.
Dans un premier temps, le regroupement de nos expériences nous a permis de nous apercevoir que les premières activités sont influencées ou imposées par les parents, les pairs et l’école.
En effet, la période de l’enfance fait référence à la socialisation primaire, processus durant lequel l’enfant intériorise des savoirs être, des savoirs faire, des normes et des valeurs transmis par les parents et l’école selon son genre (fille ou garçon).
Après avoir échangé sur les activités pratiquées, nous avons prit l’exemple de la danse, qui dans notre société est un sport à connotation féminine, il y a donc une acquisition de normes comme la posture féminine (grâce) et la rigueur.
En comparaison, deux d’entre nous ont pratiqué le Judo, sport cette fois à connotation masculine, notion de respect, combat, le contrôle de soi.
Ce sport permettant d’exprimer un besoin de se dépenser sans s’arrêter à la socialisation de genre a été influencé par les parents, ou par les PAIRS (pour faire comme les copines).
Cependant les normes et les valeurs diffèrent selon la dimension collective ou individuel du sport pratiqué (basket, tennis, équitation, gym).Celles-ci vont être intériorisées de façon inconsciente.
Dans un second temps, l’analyse de nos activités nous a amené vers une réflexion sur la socialisation secondaire.
Les différents agents socialisateurs qui interviennent au cours de cette socialisation sont notre environnement professionnel, les medias, notre conjoint(e) et nos pairs.
Ils viennent renforcer ou non notre construction identitaire.
Par exemple, par défi l’une d’entre nous a pratiqué le piano, par amour de la musique et pour trouver une satisfaction personnelle.
Egalement, l’accro-branche a permis à l’une d’entre nous de se confronter à ses difficultés