La société malade du temps

1765 mots 8 pages
SYNTHÈSE

On pourrait caractériser note société comme la société « malade du temps » caractérisée par ce soucis de rapidité, d’instantanéité, de tout maîtriser dans l’urgence. Cependant la rapidité, c’est à dire la vitesse atteinte aujourd’hui n’a t-elle pas certains effets, positifs ou négatifs sur notre société ?
Le corpus de textes présente divers avis. Le texte de Davis Breton « Eloge de la marche » (2000) critique le rythme effréné de nos vies tout comme le texte de G. Balandier, « Le Désordre, Eloge du mouvement » (1998) analysant l’urgence. L’article « La vitesse : enjeux politique », Choisir, n°547-548 (juillet aout 2005) de Michel-Maxime Egger confirme cette évolution de la vitesse en insistant sur l’influence qu’elle peut avoir sur la vie politique. En revanche, l’extrait d’un témoignage de « Le Culte de l’urgence, la société malade du temps » (2003) montre la fonction héroïque que provoque la vitesse.
Nous verrons donc, dans un premier temps la définition de la vitesse selon différents textes. Puis nous analyserons les effets négatifs et les dangers de celle-ci, suivit des effets positifs qu’elle peut aussi avoir.

La définition exacte et scientifique de la vitesse est la suivante : la vitesse est une grandeur physique qui permet d’évaluer l’évolution d’une quantité en fonction du temps(La quantité est un terme générique de la métrologie (compte, montant) ; un scalaire, vecteur, nombre...). Les quatre textes à notre disposition ont des avis partagés cependant on distingue tout de même trois « définitions » de cette celle-ci : L’urgence, la pression et le manque de temps.

Tout d’abord l’urgence puisque en effet, Michel Le Breton nous montre à travers son texte que nous vivions à un rythme effréné. Il affirme que notre société est face aux contraintes de rendements, d’urgence c’est à dire toujours plus, toujours plus vite ainsi qu’aux contraintes de disponibilité autant sur le plan professionnel que personnel. Il utilise d’ailleurs au objet très

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