La souveraineté
« Au point de vue politique, il n'y a qu'un seul principe, la souveraineté de l'homme sur lui-même. Cette souveraineté de moi sur moi s'appelle Liberté» (Victor Hugo).La souveraineté est le droit exclusif d'exercer l'autorité politique (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples. De nouvelles théories politiques ont émergé au siècle des Lumières, pour lutter contre le pouvoir royal souverain, ce qui donna naissance à deux grands concepts : la souveraineté nationale et la souveraineté populaire. Je parlerai dans une première partie du fondement de la souveraineté nationale (I) avec les principes de la souveraineté nationale (A), et la limite à ce pouvoir absolu (B). Dans une seconde partie, je parlerai d’une possible solution à la démocratie représentative grâce à la souveraineté populaire (II). Ensuite, je montrerai qu’il y a un peu de souveraineté populaire à l’intérieur même de la souveraineté nationale (A), ainsi que ces évolutions possibles à la démocratie représentatives à l’aide du régime concurrent (B), voilà se dont je m’exprimerai dans cette écris. Les deux régimes sont donc théoriquement opposés mais en pratique est-il possible de voir coexister certains traits théoriquement contradicteurs ?
I- La souveraineté nationale : le fondement de la démocratie représentative et son référendum
La démocratie représentative se fonde sur des genèses, mais il y a une anomalie à ces principes auquel, le souverain n’avait pas pensée.
A- Le précepte de la démocratie représentative
Condorcet disait : « Mandataire du peuple, je ferai ce que je croirai le plus conforme à ses intérêts. Il m’a envoyé pour exposer mes idées et non les siennes », il affirmait par là, qu’il aurait