La suite du veston ensorcelé.
-bonjour, c’est pour ? Lui dis-je d'une petite voix.
-C’est pour la note, j’espère que vous avez l’argent ?
-C'est-à-dire qu'en ce moment, j’ai des problèmes financiers donc je ne l’ai pas mais combien faut-il payer ?
-Quoi, vous n’avez pas la somme ?! Je vous rappelle que vous avez signé un contrat, si dans les vingt-quatre heures c'est-à-dire demain à minuit, si vous n’avez pas l’argent, vous aurez à faire à moi ! Et pour la note la voici, à demain !
-Mais, monsieur, je n’aurais jamais cette somme. Comment voulez-vous que je fasse ? Et puis votre veston était quelque peu «ensorcelé.» Et, vous voulez dire quoi quand vous me dites :’’vous aurez à faire a moi’’ car si il arrive une chose étrange, j'appelle la police !
Il claqua la porte violemment en partant, sans rien dire. En regardant de plus près la note, il était écrit vingt mille livres, je ne savais pas du tout comment j'allais les trouver. Mon horloge indiquait 01h20 et je n’avais toujours pas trouvé d’idée, alors je décidai d’aller dormir en espérant que la nuit me porterait conseil. Le lendemain, très tôt dans la matinée, je feuilletai les journaux pour trouver un job, j'étais tombé sur une personne qui cherchait un homme