La théorie du consommateur
C’est de déterminé les prix et les théories. L’analyse néoclassique utilise la théorie du consommateur et la théorie du consommateur. Elles sont similaires car les néoclassiques considèrent que l’homme agit comme un homoéconomicus dans toutes les situations.
I. Le cadre de référence de la théorie du consommateur : A. Le consommateur et les besoins économiques :
Qu’est-ce que qu’un consommateur ?
C’est un agent économique avec un pouvoir d’achat qui se présente sur les marchés pour consommer. Les néoclassiques que les consommateurs ne sont jamais saturés en besoins. Il se pose un même type de question (qu’est-ce que j’achète ? A quel prix ?).
Qu’est-ce que les besoins ?
Chez les néoclassiques c’est des achats de biens ou/et de services nature à lui procurer une utilité, ces besoins sont marchands (c’est-à-dire payant).
B. Les biens économiques et les paniers de consommation
Qu’est-ce qu’un bien économique ?
C’est un bien marchand sont prix doit couvrir les coûts de productions.
Qu’est-ce qu’un panier de consommation ?
Ensemble de biens et services qui entrent dans la consommation des ménages.
C. L’utilité :
A une époque on quantifiait l’utilité de chaque produits (anciennement on utilisait les « utises » Jevons, mesure cardinale). Aujourd’hui la théorie néoclassique considère que le consommateur peut lui-même classé l’utilité de chaque produit (mesure ordinale).
D. La rationalité du consommateur :
∀ p1 p2 , P1>P2
P1<P2Classements des choix
Si P1>P2 et P2>P3 alors P1>P3 Transitivité des choix
∀ P1P2P3∈P
∀P∈P (La cohérence des choix)
II. La fonction d’utilité du consommateur : A. La théorie de l’utilité au XIXème :
Utilité marginale : C’est l’utilité de la dernière unité consommée du produit.
Propriété générale de la modélisation de l’utilité : C’est une fonction décroissante des quantités.
Au XVIème siècle, le calcul