La théorie z
Historique
La théorie Z est en quelque sorte l’extension de la théorie XY de Mac Grégor. La théorie Z fut développée par William Ouchi en 1981. Ouchi est professeur de management de UCLA à Los Angeles. La théorie Z est souvent associée au style de management japonais. Celle-ci est un mélange des procédures américains et japonaises ainsi que le meilleur de la théorie Y. Tout au long du travail vous pourrez en apprendre d’avantage sur cette théorie qui a su marquer l’histoire. Nous expliquerons le principe de la théorie, le parallèle entre les américains et les japonais, les avantages et les inconvénients, ainsi que quelques exemples concrets.
-------------------------------------------------
La théorie Z: le modèle japonais
La théorie Z est en quelque sorte l’extension de la théorie XY de MacGregor. Il choisit ce nom en tant que prolongement de la pensée de MacGregor. Comme mentionnée ci-dessus la théorie Z est associée au style de management japonais et au meilleur de la théorie Y qui dit que les individus ont psychologiquement besoin de travailler, qu'ils désirent s'accomplir personnellement et exercer des responsabilités. Le management japonais décrit les salariés comme loyaux et ayant envie améliorer leur travail d’équipe, ainsi que l’organisation. Diverses investigations ont été faites ayant pour objectif de trouver les raisons pour lesquelles, les entreprises japonaises basée sur les attitudes et les responsabilités des salariés depuis l’ère de l'économie managériale, étaient plus performantes que les entreprises américaines. La théorie d’Ouchi repose sur une synthèse des caractéristiques respectives de firmes japonaises et nord-américaines qui ont connu le succès.
Dans les années 1978, à l’aide de Jaeger, Ouchi a fait l’opposition d’une grande entreprise américaine (type A) et de sa contrepartie japonaise (type J). Type A (Américaine) | Type J (Japonaise) | Emploi à court terme | Emploi à vie |