La théorie empirique
Cette théorie affirme que seule perception sensorielle fournit l'esprit humain avec les conceptions et les idées, et que la force mentale est ce qui se reflète dans l'esprit les diverses perceptions sensorielles. Ainsi, lorsque nous percevons une chose, nous pouvons avoir une conception de celui-ci - ce est, nous pouvons saisir sa forme mentalement. Mais les idées qui se trouvent en dehors de la province de sens ne peuvent pas être créés par l'âme, ni construits par elle essentiellement et de façon indépendante. Selon cette théorie, l'esprit gère seulement les conceptions des idées sensibles. Elle le fait soit (1) par la combinaison et la division, de sorte qu'il combine ces conceptions, ou divise chacun d'entre eux. Ainsi, il conçoit «une montagne d'or», ou les clivages «l'arbre», ce est avaient connu en morceaux et pièces. Ou (2) l'esprit gère les conceptions d'idées sensibles, en abstraction et l'universalisation, de sorte qu'il sépare les qualités de la forme, et les résumés sous forme de ses qualités particulières; avec le résultat que [l'esprit] peut former d'elle une idée universelle. Ceci est illustré dans la conception Zayd, et en actualisant tout ce qui le distingue de 'Umar. Par le biais de ce processus de soustraction, l'esprit conserve une idée abstraite qui se applique à la fois Zayd et 'Umar.
Peut-être le premier à préconiser cette théorie empirique était John Locke, le philosophe britannique éminent qui a émergé dans une période philosophique envahi par les notions cartésiennes des idées innées. Ainsi, Locke a commencé à réfuter ces notions. A cet effet, il avança dans son livre, Essai sur l'entendement humain, une philosophie détaillée de la connaissance humaine. Dans ce livre, il a tenté d'attribuer toutes les conceptions et des idées pour les sens. Lacer, cette théorie se est répandue parmi les philosophes européens, et, dans une certaine mesure, il détruit la théorie des idées innées. Un certain nombre de philosophes