La vie des étudiants vietnamiens en france
Pour prendre ses marques dans un pays tout à fait inconnu, l’Association des Etudiants Vietnamiens à Nantes (AEVN) est prête à donner toutes les clefs de réussite à ses membres.
Valises en main, ils débarquent par petites vagues sur les quais de la gare de Nantes. En rejoignant le hall de la gare, ils appréhendent l’accueil qui leur sera réservé. La première surprise à travers les baies vitrées, a été de voir l’abondance des voitures et le manque de scooters. Ces étudiants sont venus de loin pour faire un petit bout de chemin. Ils quittent leur pays natal pour un séjour plus ou moins long dans le cadre de leurs études ou d’un projet professionnel. « J’ai déjà contacté l’AEVN sur Internet, ils sont prêts à m'accueillir pour mes premiers pas en France, je n’ai plus eu peur de partir », nous confie Van Chiên, étudiant en Histoire et Relations Internationales. Loin de la famille et malgré l’aide de l’Association, les premières difficultés ne sont pas négligeables. En effet, il faut tout de même pallier le mal du pays, le choc culturel, ou encore le changement dans les habitudes alimentaires. Les étudiants vietnamiens barrière linguistique et le mal du pays doivent faire face à une peur mêlée à conduisent souvent ces jeunes étudiants à l’inquiétude de se perdre dans les papiers frapper à la porte de l'association dans l'espoir administratifs, et d'atténuer leur dans toutes les nostalgie. Même si démarches qui leur l’Association ne seront nécessaires remplace pas la comme l’ouverture famille, Van Chiên d’un compte en nous livre que grâce banque, ou à ses amis l’abonnement à un vietnamiens, il peut forfait téléphonique. retrouver le Quand ce n’est pas Vietnam. De bons l’AEVN qui tend la moments autour des main à ces jeunes activités proposées gens, ce sont leurs au sein de l'AEVN Soirée d’accueil des nouveaux étudiants en 2012 amis présents sur le leur permettent de territoire ou leurs trouver un réconfort