La vie devant soi est un roman de Romain Gary (Emile Ajar) qui a reçu le prix Goncourt en 1975. Ce roman parle d’un couple très spécial : un enfant arabe prénommé Momo qui est née d’une mère prostitué. Momo est élevé par une vieille femme nommée Mme Rosa, qui est une femme juive déportée à Auschwitz et qui tient un clandestin pour enfants de prostitué. La vie de Momo n’est pas facile tous les jours, sa vie est une mise à l’épreuve, c’est pourquoi pour supporter et surmonter toutes ces difficultés il a recours à son imagination.
« Je me sentais mieux et je commençais à comprendre que la meilleure chose pour moi, c’est d’aller vivre là où ce n’est pas vrai »
Momo pour surmonter le monde réel, il s’invente des moments merveilleux, pour s’échapper de cette si dur et douloureuse réalité il se réfugie là où la souffrance n’existe pas, pour avoir le droit à sa part d’innocence. Il connait tout de même des moments heureux, mais la vie de Mme Rosa et de Momo parait irréel avec tous ce qu’ils surmontent ensemble.

Comment Momo parvient-il à échapper à une vie si dure qui est une mise à l’épreuve constante ?

Quels moments réel réconforte malgré tout Momo ? Avec qui Momo trouve-t-il du réconfort ?

Quels sont les moments réel qui semblent échapper de réel ?

Conclusion
Momo mène une vie bien difficile pour son âge, il vit dans un quartier très pauvre et dans un appartement avec des enfants de prostitués. Momo est un jeune garçons qui normalement devrait jouer avec ses amis au ballon, il devrait croquer la vie à pleine dents, au lieu de ça il s’occupe d’une très vieille femme démunie qui ne peut plus s’occuper d’elle-même, d’une ancienne prostitué qui perd la tête, il est sans cesse confronté à ces épreuves, ce qui fait de Momo un autodidacte il apprend tout de sa propre expérience. Il surmonte toutes ces épreuves tout seul comme un adulte, pour s’évader de ce cauchemar il s’invente une deuxième vie irréel, là où la souffrance n’existe pas, là où le bonheur