La vie en rozz
lllllllllllllllllllllllllgggggggggggggggggpppppppppppppppppp
prrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm
mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm
mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm
mmmmmmmmmmmmmmgggggggggggggggggggggggggggggggggfffffffffffgg
gggggggggggggggggggggmmmmmmmmmmmmjfgjghjhjkrhhjfjnrjhfjgbjjj
jjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjj Il [Pierre] se sentait mal à l’aise, alourdi, mécontent comme lorsqu’on a reçu quelque fâcheuse nouvelle. (…) il portait en lui un petit point douloureux, une de ces presque insensibles meurtrissures dont on ne trouve pas la place, mais qui gênent, fatiguent, attristent, irritent, une souffrance inconnue et légère, quelque chose comme une graine de chagrin. " (p. 59)
Cf. extrait de la ligne 33 à la ligne 75, pages 60 et 61.
c. " Certes, on n’est pas toujours maître de soi, et on subit des émotions spontanées et persistantes, contre lesquelles on lutte en vain. (…) d’avoir dévoilé l’autre qui est en nous. " (p. 60)
Chapitre 3
d. " Alors, en rôdant à travers les rues, il songea combien sont légères les causes déterminantes de nos actions. (…) Il s’arrêtait devant les portes où pendait un écriteau annonçant soit un bel appartement, soit un riche appartement à louer, les indications sans adjectif le laissant toujours plein de dédain. Alors il visitait avec des façons hautaines … " (p. 71)
Cf. extrait de la ligne 371 à la ligne 440, pages 80 à 82.
e. " Dés la porte il entendit un grand bruit de voix et de rires dans le salon (…) On avait fait apporter du vermouth et de l’absinthe pour se mettre en appétit, et on s’était mis d’abord en belle humeur. (…) Sur la table éclatait un luxe inaccoutumé : devant l’assiette de Jean, assis à la place de son père, un énorme bouquet rempli de faveurs de soie, un vrai bouquet de grande cérémonie, s’élevait comme un dôme pavoisé, flanqué de