La vie en société transforme les hommes, rousseau
2. D’après Rousseau, les hommes aurait pu rester « libres, sains, bon et heureux » tant qu’ils ne s’appliquent qu’à des ouvrages qu’un seul peut faire, qu’ils n’ont pas besoin du concours de plusieurs main, en clair tant qu’ils n’ont pas besoin du secours des autres pour réaliser ce qu’ils veulent et peuvent ainsi se suffire à eux même. Ils pouvaient ainsi jouir entre eux des douceurs de ces relations entre hommes indépendantes.
3. Les forêts se changèrent en campagne puisqu’elles ont été déracinés afin d’y créer des champs de culture,
La paradoxe que l’on peut observer entre « ces campagnes riantes » et « arrosées e la sueur des hommes » existe grâce à la différence entre l’adjectif « riante » qui signifie amusante, drôle, sympathique, quelque chose qui est plaisant, et « la sueur » des hommes qui veut dire que l’homme a dû travailler dur, se fatiguée à la tâche afin d’exploiter ces campagnes.
4. D’après Rousseau, on passe de l’égalité à la misère par le fait que les hommes se sont rendu compte qu’il était utile d’avoir « des provisions pour deux », par conséquent, la propriété s’introduisit et le travail devint nécessaire afin de justement pouvoir accroître ses provisions. Ce qui conduisit à l’esclavage des hommes pour s’occuper des moissons et ainsi, à la misère humaine.
5. L’idée d’un pur « pur état de nature » est, dans le texte, une hypothèse historique puisque toujours d’après Rousseau, l’homme a en premier lieu était dans ce pur état de nature car il pensait pouvoir sans sortir « sans le secours d’autrui » et ainsi vivre seul avec ses propres