La vie politique de 1932 à juillet 1940
Introduction :
Les principales tendances : * bipolarisation gauche droite très forte. * Affirmation du PCF à l’extrême gauche. * Le parti radical est au centre de la vie politique, il reste important mais il s’affaibli. Déplacement vers la gauche du clivage gauche droite. * L’imprégnation fichiste semble limitée. * Deux expériences originales de gouvernement, le front populaire, et le gouvernement Daladier.
Problématique : quel est le degré de solidité des institutions républicaines ? I. Les forces politiques vers 1930. a. Les droites.
Ce qui les unies : Le patriotisme, la nostalgie d’avant guerre « la belle époque ». La défense de l’ordre sociale, et la défense du franc. La droite affirme être sérieuse dans sa gestion financière et accuse toujours la gauche d’une incapacité présumé à géré les fonds. Cette droite est également très divisée.
L’extrême droite : Pique de la présence de l’extrême droite, très vive, depuis 1870. Présence de l’extrême droite : affaire Dreyfus, les années trente, Vichy. « l’action française », traditionaliste des contres révolutionnaire. Elle connait une audience, dans une partie du monde intellectuelle, en particulier dans les salons et les académies, elle a une difficulté à percé le monde universitaire. Morasse : « comment je suis devenu royaliste ». André Gide, Louis Aragon. Apogée en 1926, de « l’action française ». 1926, le pape condamne l’action française. Le problème c’est qu’il utilise l’église catholique comme simple moyen de maintient de l’ordre social. Cela entraine d’une part une mise en difficulté de l’action française, et un virage profond du catholicisme français ouvrant de nouvelle opportunité à la démocratie chrétienne. Mais cela entraine également la dérive fichiste de certains de ces membres. Ex : Robert Brasillach. Les ligues antiparlementaire entre droite et extrême droite, elles sont plus puissante dans les années trente qu’avant.