La violence chez les jeunes
Je travaille à la maison de quartier « Gaucheret », on travaille avec le public environnant, mais nous privilégions les jeunes. Nous rencontrons souvent des jeunes qui ont des difficultés avec les institutions telles que l’école, car les cadres formels qu’elles incarnent leur font peur, mais encore ils ont des problèmes de communication qu’ils les amènent à être violents. De plus, nous rencontrons des problèmes de réclusions entre les communautés (gitan arabe turc arabe grand et petit). Ces différentes problématiques rencontrer sont un frein à l’intégration pour ces jeunes. En tant qu’éducateurs, nous essayons par le biais de diverse activité ludo-pédagogique de résoudre ces difficultés. L’activité que je propose est l’atelier « arts martiaux ». Cette activité est mal vue, car l’idée perçue sur cet art est qu’elle tend à augmenter l’agressivité et la violence des jeunes et de plus elle est dangereuse à cause des risques de blessures. Ceci mène à la question, comment les arts martiaux peuvent être utilisé de manière éducative et pédagogique ?
Pour commencer, je fixe une heure et un lieu à mon activité dans une salle approprier. Ensuite, je propose des exercices cardio-vasculaires associant équilibre, souplesse et force qui forment le corps et l’esprit. Le principe et la formation de l’esprit en passant par le corps. Ceci joue sur plusieurs dimensions, l’évacuation du stress, car à travers les techniques (frappe projection et chute)le pratiquant exprime ses émotions. En effet nous avons 5 canaux de communications et que chacun d’entre nous à un canal privilégier. Il faut savoir que les jeunes dans notre maison de quartier sont très kinesthésiques. « La kinesthésie; qui concerne la sensation de mouvement des parties du corps. ». Par exemple, lorsqu’ils aiment quelqu’un il tape de manière brusque sure, ou lorsqu’ils sont énervés ils envoient des chaises la ou bon les