La violence domestique à l’égard des femmes est un phénomène qui ne connaît ni frontière géographique, ni limite d’âge, ni race, et concerne tout type de milieu social. Même si l’on accorde plus d’attention aujourd’hui à cette question, et que des lois existent, la violence contre les femmes continue malgré tout. Alors il est évident que l’article que j’ai choisi me plaît beaucoup, parce que certains ont enfin aperçu l’importance et le degré de ce problème. Toutefois à mon avis le port du bracelet électronique pour les conjoints violents n’est pas la seule solution pour arrêter la violence domestique.
Tout d’abord, il faut apporter un éclairage sur cette problématique très large afin de saisir l’ampleur du phénomène, en analyser les causes profondes et tenter de développer des stratégies d’intervention et de lutte appropriées. La société est nécessaire pour mener à bien le combat contre ce phénomène. Cependant il faut admettre qu’aujourd’hui, il est facile de prétendre qu’on n’a rien vu, rien entendu ou de ne pas demander à une amie ce qui ne va pas, même si nous voyons bien qu’elle a un problème. Alors nous devons nous rendre compte du fait que nous ne serons pas capables de réduire la violence urbaine si nous continuons à catégoriser la violence domestique comme une affaire privée. Je suis d‘accord que s‘engager n’est pas facile, mais sans notre aide les victimes de cette violence resteront dans leur malheur.
Ensuite, il faut créer les tribunaux spécialisés dans ce domaine. C’est l’une des réformes qu’on peut entreprendre pour enrayer ce fléau, en renforçant les mesures de protection des victimes et les sanctions contre les conjoints violents. Pourtant il faut souligner qu’il ne suffit pas d’adopter de nouvelles lois. Il faut aussi que les mécanismes d’application des lois et les procédures judiciaires soient accessibles et adoptés aux femmes.
Enfin, nous devons combattre la violence par des actions de sensibilisation auprès des mouvements sociaux alliés