« La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence. tout homme qui a choisi la violence comme moyen doit inexorablement choisir le mensonge comme règle. »
Durant l’antiquité, la violence faisait déjà partie intégrante de la vie en société. Des exemples de cette barbarie s’y trouvent déjà, notamment dans Antigone de Jean Anouilh. On y note en effet la présence d’une violence politique menée par le pouvoir en place. De surcroît, le 20ème siècle s’est montré encore plus cruel et violent que ses prédécesseurs. Effectivement, les deux guerres mondiales reflètent bien la cruauté de l’homme moderne. Cette violence se trouve alimentée d’une part par la crainte, et d’autre part, par la soif de pouvoir, afin de devenir terriblement indispensable dans le but de garantir la main ferme qu’ont les gouvernements sur leur peuple. Ainsi, dans un monde soviétique totalement déchiré par la violence d’après Révolution, Alexandre Soljenitsyne prétend que « La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence. Tout homme qui a choisi la violence comme moyen doit inexorablement choisir le mensonge comme règle. ». De même manière, dans son discours lors de la remise de son prix Nobel de littérature qui lui fut décerné en 1970, il définit plus clairement sa pensée. « Au début, la violence agit à ciel ouvert, et même avec orgueil. Mais, dès qu’elle se renforce, qu’elle est fermement établie, elle sent l’air se raréfier autour d’elle et elle ne peut survivre sans pénétrer dans un brouillard de mensonges, les déguisant sous des paroles doucereuses. Elle ne tranche pas toujours, pas forcément, les gorges; le plus souvent, elle exige seulement un acte d’allégeance au mensonge, une complicité. » Il affirme de ce fait que le mensonge est indissociable de la violence. Puis, définir les différentes sortes de violence semble indispensable, tout comme d’analyser ses revers afin de déceler la