La vérité a à priori pour ennemi la croyance populaire la doxa l’opinion publique. Bachelard disait « la science s’oppose [..] absolument à l’opinion, la science relèvrait de la vérité
La connaissnce est la mise en relation
Pour comprendre le réel. Connaitre c’est chercher à établir, l’origine et la nature des structures que le sujets doit soliciter pour décrire l’objet auquel il est confronté. On peut aussi penser que la vérité est une valeur, une norme. Dans le langage ce qui est faux désogne presque toujours une déviation par rapport à un idéal. Il existe un devoir de vérité, le mensonge étant immoral (kant). La vérité est une notion extrêment délicate qui soulève de nombreux enjeux. Quel est l’obet de la vértié ? existe-t-il une ou de vérité ? …
Comment peut on accéder au vrai et critère qui permette d’accéder au vrai
Critère de la correspondance de saint thomas d’aquin qui a essayé de concilier foi et raison. Pour lui, la vérité est l’adéquation de la chose et de l’esprit « veritas est adequatio rei intellectus » il écrit dans somme contre les gentils « la vérté est dans notre esprit en tant qu’il est adéquat à la réalité perçue »
Il ne peut y a voir de vérité que l’être, la vérité consiste donc dans l’accord idéologique de l’être à l’intellect. Ce critère de correspondance a pour fondement l’être et ensuite la connaissance qui n’est que la déclaration de l’accord déjà réalisé entre l’intellect et l’être. Bref la connaissance résulte de la vérité. Conséquence, en partant de l’être pour définir la vérité, on accorde que la vérité existe. Il écrit que « celui qui nie que la vérité existe accorde que la vérité existe » Si en effet il n’y a pas de vérité il est vrai qu’il n’y a pas de vérité or il y a quelque chose de vrai nécessairement la vértié existe. Le pb qui se pose est que cette définition du vrai est liée au fait qu’il est nécessaire de comparer les idées aux choses mais on a accès qu’à la représentation que l’on s’en fait. Pour lui tout