La Bête Humaine Emile Zola Sujet : Edmond de Goncourt lors de la parution de La Bête humaine en 1890 écrit dans son journal : "Un roman comme La Bête humaine , un roman comme en fabrique aujourd'hui Zola où tout est invention, imagination, fabulation, où les êtres sont de pures ou de sales sécrétions de sa cervelle, un roman sans un sou d'humanité, n'a à l'heure qu'il est aucun intérêt pour moi." Partagez-vous cette opinion ? …afficher plus de contenu…

D’après lui l’amour semble pouvoir se réaliser uniquement en passant par la mort. Comme par exemple son histoire d’amour avec Séverine Roubaud qu’il finit par tuée ne pouvant résister à ces pulsions meurtrières et sexuelles. Jacques Lantier, est victime de la tare héréditaire de sa famille sous différentes formes tels que l’alcoolisme, la névrose criminelle ainsi que la perversion. Mais ces tares, fêlures semblent être exagéré tout au long du roman. Jacques semble ne plus pouvoir se contrôler et ces actes paraissent surréalistes L’aspect imaginaire de ce récit se traduit par la présentation des trains comme des bêtes sauvages. Comme les trains de la BETE HUMAINE qui peuvent apparaitre comme des êtres monstrueux et malintentionné voir même des puissances ténébreuses. Il …afficher plus de contenu…

Il décrit notamment la gare saint Lazare ainsi que le quartier de l’Europe se trouvant dans le 9me arrondissement de paris, il l’a décrit par ailleurs comme un tableau impressionniste en utilisant deux sens pour permettre aux lecteurs de mieux rentrer dans la description. Emile Zola décrit de façon perspicace tout au début du roman la gare st Lazares ainsi que son quartier et ces alentours. De plus, le contexte historique de ce roman se déroulant durant la révolution industrielle au 19eme siècles au Second empire entre 1852 et 1870, apporte au récit une