La bruyère, les caracteres
la « petite Robe » et la « grande Robe ». Mais paradoxalement, chacun n’a qu’un rêve, c’est d’appartenir à la classe à laquelle il n’appartient pas. Chacun passe son temps à imiter celui qu’il n’est pas. « Imiter » est le mot qui revient le plus souvent : « Paris, pour l’ordinaire singe de la Cour… …afficher plus de contenu…
Il depasse le cas particulier d’Acis « vous et vos semblables » metaphores « diseurs de Pehbus »Reponse de Acis pretentieuxMorale : langage simple demontre plus d’ésprit, plus ‘intelligence CONCLUSION :La Bruyère se pose en professeur impatient. Dans un première temps il cherche à faire progresser l’eleve maos dans la seconde partie, il en tire des conclusions - SATIRELIVRE VII. DE LA VILLE LA BRUYERE–LES CARACTERESJean De La Bruyère est un écrivain moraliste françaisdu XIIIX Siècle(Le Classicisme)Les caractères est une oeuvre atypique publiée en 1688 qui reflète un millier de portraits tout à la fois féroceset sans concession, faisant un miroir deformant des vices de la société de l’époque.Ce court chapitre évoque certains aspects de la vie à Paris (il y a des noms de quartiers, on y voit la Seine, les Tuileries…), et il est logique, dans la mesure où La Bruyère s’en est pris dans le chapitre précédent aux nouveaux riches, qui