« La cité est au nombre des réalités qui existent naturellement, et l’homme est par nature un animal politique. » Aristote Bien avant la naissance des sciences humaines, les philosophes avaient réfléchi à l’être humain et à sa place parmi les autres êtres vivants : était-il un animal comme les autres ou en quoi s’en distinguait-il ? Aristote a défini l’homme comme un « animal politique ». Qu’entendait-il par-là ? Il faut d’abord comprendre « animal politique » par « animal social », …afficher plus de contenu…

Certains animaux possèdent naturellement une conscience, il ne devrait donc y avoir aucun doute à ce sujet. Les émotions, les sentiments et même le reflet de soi sont évidents dans certaines espèces de hiérarchie sociale. La conscience est la seule propriété accordée aux humains. Par conséquent, aucun autre être vivant ne peut expérimenter la conscience. Tous les organismes dans une plus large mesure ressemblant étroitement à l'inconscient humain, les animaux possèdent un sens inné. Ses analyses de la psychanalyse montrent un patchwork de déséquilibres de pouvoir. Dépourvues de toute raison, leur vie est gouvernée par les seules impulsions. Pas de système éthique de la morale. Le roman de Robert L. Stevenson L'étrange cas du docteur Jekyll incorpore un scénario basé sur le …afficher plus de contenu…

Or il se trouve qu’à un fâcheux moment, son corps se retrouve déconnecté au cerveau à cause d’un incident et le protagoniste se retrouve donc sans aucune perception, tout ce qu’il lui reste est donc la pensée. Cela ne veut pourtant pas dire qu’il n’est plus humain, et on revient exactement au point d’avant, il est embêté mais pas pour le moins réduit au rang d’inhumain. Tout comme une personne souffrant d’un handicape peut le priver de ses sens comme la cécité ou l’amputation de membres, c’est un peu comme s'il avait d’un coup été victime de tous les handicapes d’un coup, on considère toujours un homme-tronc atteint de