La conscience, un mystère sans preuves
Les trois niveaux sont : le conscient, le préconscient et l’inconscient (Freud, 1917). Le conscient est le niveau que nous sommes le plus apte à reconnaître puisque notre perception est la plus haute dans celui-ci. Le conscient consiste en tout ce que nous sommes capable de reconnaître sur le moment que ce soit dérivé de stimuli interne ou externe. Par exemple, le fait de pouvoir dire que j’écris une analyse philosophique dérive de la partie consciente de ma pensée selon Freud puisque c’est ce que je suis le plus apte à ressentir en ce moment. Le préconscient englobe tout souvenir qui n’est pas dans le conscient, mais que le conscient est capable d’aller chercher. Me souvenir du jour où j’ai fait de la corde à sauter en maternelle est un exemple de la partie consciente de ma pensée qui est allé chercher un souvenir dans la partie préconsciente de ma pensée. L’inconscient est tout ce que le conscient aurait pu refouler, l’inconscient fait partie du niveau le plus bas de …afficher plus de contenu…
Sur le même exemple précédent, au lieu de me dire que je fais l’activité de vouloir manger, j’irais directement manger sans aller plus loin dans mon train de pensée. Selon Sartre, l’homme est complètement libre, c’est ce qui le différencie de tout autre être. Contrairement à un objet par exemple, l’Homme existe avant d’obtenir une essence, il décide de son essence par ses multiples choix. L’essence, dans ce cas, pourrait être perçu comme une raison de vivre. L’essence d’une bouteille, par exemple, est conçue avant qu’elle soit créée, celui qui crée la bouteille a déjà en tête l’idée de la bouteille avant sa création, son essence précède son existence. Puisque Sartre occupe un point de vue athée, l’Homme, selon Sartre, n’est pas créé par quelque chose, rien ne peut donc décider de son essence sauf