La Curée est un roman issu de la série des Rougon-Macquart écrite par Zola. Le titre qui, est la portion de bête tuée que l’on donne aux chiens de chasse, évoque la débauche des grandes fortunes ainsi que la spéculation dans le Paris Haussmannien sous le second empire. C’est l’histoire d’Aristide Saccard, un homme ambitieux qui arrive à Paris en 1852 suite au coup d’état de Napoléon III. Il utilise la spéculation des terrains à bâtir afin de se construire une fortune qu’il atteint au début par le …afficher plus de contenu…

Renée tout comme Eve avait été aveuglée par son « désir » et « sa passion » et a été punit par Dieu tout comme Saccard la « punissait ». Elle savait que son mari la « jetterait » tout comme ils avaient été jetés surTerre. Pour elle, son malheur est une punition presque divine puisqu’elle parle de gestion avec la tournure « elle avait lu l’avenir ». On a aussi un jeu de lumière qui rappelle l’enfer avec, « un rayon de soleil », « ténèbres », « ombres murmurantes » ou encore « effrayer ». Renée prend conscience de sa chute et paraît en perdre la tête comme on le voit avec le terme « folie ». On comprend que ce sont ses pensées avec la répétition de « C’était (ces gens ou lâches) qui l’avaient mise nue » au début et à la fin du …afficher plus de contenu…

Il est clair qu’il ne s’agit plus de Renée uniquement. C’est un portrait de la haute société qui est fait. Des gens qui de l’extérieur semblent avoir une vie belle et heureuse grâce à leur richesse mais qui sont en réalité « abandonné » et qui ressente de la « honte » au moindre scandale. En effet, à travers Renée on se rend compte que ce « pays de la honte » est la société mondaine. On a une répétition assez visible à deux reprises de « honte » et « abandon » dans ce paragraphe qui montre les deux sentiments principaux que partage