"La monstruosité" de zola
N’allait-elle pas quand même à l’avenir, insoucieuse du sang répandu ? Sans conducteur, au milieu des ténèbres, en bête aveugle et sourde qu’on aurait lâchée parmi la mort, elle roulait, elle roulait, chargée de cette chair à canon, de ces soldats, déjà hébétés de fatigue, et ivres, qui chantaient. »Ainsi la monstruosité en tant que …afficher plus de contenu…
L’auteur fait avec le laid du beau.· Ou encore dans « Spleen » ou de la maladie qui le ronge Baudelaire réalise un poème qui marque l’éloge de la monstruosité : « et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l’espoir Vaincu pleure… »La monstruosité peut donc être autre chose que le laid et c’est ce que transmet Baudelaire dans cet