La nécrologie de maurice thorez
France, entre le Kominterm et le PCF. C’est quelques jours plus tard que la rumeur se répand en
France. Dans les rangs du Parti Communiste, on pleure la perte de l’ancien secrétaire général, même si l’ancien dirigeant est devenu …afficher plus de contenu…
PÉRIODE DE GUERRE ET D’APRÈS GUERRE
- Passage dans la clandestinité à partir de 1938, l’Huma à partir de 1939, « tourmente » et aussi certainement beaucoup de peur après la défaite
- Martyrs de la Résistance encensés, montrer que le parti se lève pour ne pas être esclave,
« sacrifice suprême »
- Pourtant Thorez fuit pour l’Union Soviétique en 1939, déserte, ici il s’y « rend » seulement, il revient grâce à « l’immense audience du Parti acquise à son abnégation » alors même que
63 % des Français s'opposent à son retour en France
- Grand meeting célébrant son retour, au Vél’d’Hiv en novembre 1944, devant plusieurs dizaines de milliers de militants, Thorez fait ovationner la nouvelle ligne politique : « S’unir, combattre,
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L’ATTACHEMENT AU PARTI ET DIRIGEANTS
- Rite et étiquette du culte de la personnalité pour Thorez et Staline : réunions / expositions, affiches / discours /chansons / poèmes au centre de l’activité militante pour affirmer la suprématie de ces grands cadres
- Qui se poursuivent dans leurs morts, leurs funérailles, qui permettent aussi d’écrire voir réécrire leur vie pour servir les intérêts du parti
- Usage interne du Fils du Peuple, pour ressouder le parti derrière la personne de