La où les tigres sont-ils chez eux, à robert de roland
Dans ce début du dialogue on pourrait croire, en tant que lecteur que Roetgen fait parti de la police, puisqu’il pose beaucoup de questions à Joao : « Quesqu’ils en font ? », « Ils se vendent bien ? » « Des requins ou des Chinois ? » … Mais Roetgen s’intéresse juste au métier de Joao. « Je ne sais pas trop. » il y a une utilisation d’une négation « je ne sais » qui donne un doute sur est ce que sa réponse est juste ou pas. Il y a une deuxième apparition de points de suspensions peut-être qu’ici Joao en a marre de répondre aux questions que Roetgen pose. Dans la réponse de Roetgen à la question de Joao « Et des pagres ? » il y a encore une négation « n’en » pour dire qu’effectivement cette espèce est en voie de disparition. « Comment c’est possible !? » point …afficher plus de contenu…
Dans cette prise de conscience, l’hypothèse faite auparavant, que si=’il avait dit tout ça à voix haute. Roetgen aurait eu un effet de peur, puisqu’il est vraiment attaché à sa terre : » Un homme pour lequel les richesse naturelles de la terre, son ensoleillement, ….valeur et signification ». Une énumération en reflétant toutes les choses à laquelle Joao tient énormément. Pour laquelle il aime tant son pays. Dans la dernière phrase de cet extrait de roman, Jean Marie Blas de Roblès utilise un mot venant du latin « humus » qui signifie le sol. Cette dernière phrase : « un être intelligent, sensible, …comme un fonds » fait une sorte de conclusion d’une certaine prise de conscience, qu’il ne faut pas avoir beaucoup de choses, de richesse…, pour être attaché à quelqu’un, à un