La parure de guy de maupassant
Or, on nous indique peu de chose sur sa vie réelle, dont on voit bien qu’elle ne l’intéresse pas. Il y a une fuite en avant évidente dans le rêve, par un évitement de sa propre réalité. Même si le narrateur n’émet pas d’opinion au sujet de Mathilde et garde une neutralité certaine à son propos, il y a une exagération volontaire de sa souffrance (énumération fin de la 1ère partie : « pleurait ..de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse « )qui nous apparaît comme démesurée, voire injustifiée.2ème partie : paragraphe 2 et 3Réaction à l’invitationLa présentation de l’invitation à Mathilde va précipiter la suite des évènements : c’est l’élément perturbateur de la nouvelle. Au vu du portrait qui nous en est fait à la 1ère partie, on pourrait s’attendre à beaucoup de joie de sa part à la …afficher plus de contenu…
Ainsi, deux champs lexicaux vont se suivre : d’abord celui de la panique « poussa un cri », « affolée », « éperdu », puis rapidement celui du découragement « atterrés », « abattue » « effarement » « affreux désastre », « figure creusée et palie ».Les dialogues eux-mêmes sont écrits de manière à intensifier ces sentiments, à l’aide de phrases courtes, parfois laborieuses, « j’ai..j’ai…je n’ai plus la rivière de Mme Forestier », exclamatives « Quoi ! …Comment !...Ce n’est pas possible ! » qui expriment le choc.Ensuite, les phrases interrogatives traduisent l’affolement « « tu es sûre que tu l’avais encore en quittant le bal ? « « as-tu pris le