La reine morte de montherlant, acte i, scène 3, tableau i, «
L'un ne ressort pas totalement, comme part de l'entité donc, tandis que l'autre est particulièrement voyant et vu, il se fait remarquer, c'est un propos particulier cette fois. Il place l'aspect blasé que son fils éveille en lui, au-dessus de toute autre lassitude, c'est une place à part, qui rayonne, nous pouvons presque penser que l'entièreté de la phrase n'est présente que dans le but de servir cet argument …afficher plus de contenu…
errante a aimé de manière croissante et démesuré son fils pendant ses treize années.II- Opposition d'une enfance exemplaire face à une adolescence agitée (lignes 9 à 16)Pour débuter, le chiasme entre les termes suivants : « ver » , « papillon », « papillon » , « ver », permet d'introduire les propos qui suivent, en abordant la régression de l'état jusqu'alors quasi-parfait du fils qui s'apprête à devenir « un ver », nom péjoratif, qui sonne comme inférieur, inutile, invisible presque.Dans un second temps, les adjectifs numéraux : « quatorze ans », impliquent une avancée d'un an dans le temps, ils permettent donc de structurer le propos et le rendent