La rentrée des ouvrières 1905-1918
Cet atmosphère est retranscrit par les teintes utilisées. L’auteur a privilégié le terne et le sombre pour tenter de rendre sur la toile la pollution de l’air de la capitale. Dans le ciel terne, les rayons du soleil ont beaucoup de mal à percer. Ils sont masqués par des nuages. De la fumée est aussi très présentes. Elles viennent en quelque sorte, salir le ciel. Elles renforce le côté pollution industrielle de l’époque.Dans ce décor nous apercevons plus particulièrement 2 femmes. Celles-ci sont comme, il était convenu de dire à l’époque, en cheveux. Cela traduit leur condition. Elles font partie du peuple. Les femmes de la bourgeoisie portent elles des chapeaux.La condition de femmes du peuple ouvrières s’affiche aussi par leur vêtement par leur …afficher plus de contenu…
Douleur et épuisement dues au lourd sceau quel porte et à l’énorme tas de linge appuyé contre sa hanche.Au second plan, nous voyons une mère qui porte son bébé dans les bras. L’auteur insiste sur cela parce qu’à l’époque il n’existe pas de structure pour accueillir les enfants des travailleuses. Les mères ouvrières doivent donc, soit confier, leur enfant en bas âges à une ainée de la famille, une soigneuse ou alors se décider de l’emporter partout avec elle. Cela pouvait aboutir au fait que les mères donnaient des thérapeutiques pour faire dormir les enfants pour pouvoir travailler tranquillement.Le peu de ce que nous voyons de ces ouvrières, nous montre des visages exténués.Le fait que certaines ouvrières sont représentés marchant part 2