La tirade de chrysale
Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien ; Leurs ménages étaient tout leur docte entretien, ») mais aussi entre hémistiches (comme dans le vers 583 « Et leurs livres, un dé, du fil et des aiguilles, »). Cette opposition sert à montrer que Chrysale ne comprend pas pourquoi sa femme Philaminte, sa sœur Belise et sa fille Armande ne se comporte pas comme de simple « femme » du moins pour l’époque. Ce qui pose pour lui de nombreux paradoxe (telle que : « Il n’est pas bien honnête et pour beaucoup de cause, Qu’une femme étudie et sache tant de …afficher plus de contenu…
Qui relève d’une confusion entre l’esprit et la matière, c’est-à-dire qu’il traite les livres comme un meuble inutile, un objet alors que les femmes savantes les traites comme comme sacrés. Il rabaisse de la même manière d’autre « objet sacrés » des femmes savantes comme leur télescope qu’il considère comme une vielle « lunette » qui ne sert à rien alors que pour elle, cela permet d’ouvrir leur esprit. L’énonciateur utilise le comique burlesque pour se moquer de leur manière d’adorer des objets qui pour lui sont simplement banale.La métaphore du meuble pour évoquer le livre de Plutarque relève d’une exagération comique. Ainsi que l’hyperbole « de bruler tout ce meuble inutile » essaye de provoquer une réaction de répugnance de la part des femmes