Dans le monde de l'entreprise, les dirigeants sont face à un problème majeur : la recherche du profit sans pour autant compromettre leur image au près de leurs salariés et consommateurs. Il s'avère que dans l'entreprise TOTAL plus de 78% de ses salariés contestent la répartition de la valeur ajoutée qu'ils jugent non équitable. Nottons également que les bénéfices de TOTAL chuttent chaque année. Cependant en privilégiant la recherche de profit et en pratiquant la politique de l'inflation des prix l'entreprise TOTAL risque fortement de nuire à son image auprès de ses consommateurs et salariés. Nous examinerons dans un premier temps la valeur perçue de TOTAL par ses différents agens éconnomiques tels que ses salariés et consommateurs ainsi que les risques qu'elle encoure en privilégiant le profit.
On estime que 8 sur 10 salariés sont satisfaits et fiers de ce qu'ils font au sein de l'entreprise. Pourtant nombreux sont les salariés qui décrètent que la répartition de la valeur ajoutée est non équitable entre ces derniers (78% des effectifs d'une entreprise de plus de 1500 personnes), les dirigeants et les actionnaires . Les salariés savent également qu'ils ne peuvent trop contester les décisions des employeurs de peur d'être licenciés puis remplacés. Ce qui n'instaure pas une bonne politique de fidélisation au sein de TOTAL contrairement aux multiples magasins de John Lewis qui décide de récompenser gracieusement le travail de ses salariés par des primes..... La notoriété et l'image du groupe sont donc en baisse au sein de l'entreprise.
TOTAL comme n'importe quelle autre entreprise se focalise sur la recherche de la qualité du produit et sur son prix édéquate. C'est pourquoi Christophe de Margerie (PDG de TOTAL) avait déclaré lors d'une interview au Parisien que "la qualité de l'essence doit se payer" et avait annoncé plus de 12 milliard d'euros de bénéfices. Bénéfices rendus possibles par l'augmentation des prix à la pompe "sur le dos des français"