L'albatros - baudelaire
pathétique ? lyrique ? : satirique (il se moque pour faire réfléchir, s’attaque à qqch, le critique en n’hésitant pas à le ridiculiser pour faire réagir le lecteur) Procédés d’écriture qui marque le registre : l’exclamation (avant-dernier quatrain) /ensemble des mots, en particulier les adjectifs péjoratifs qui qualifient la démarche de l’albatros, mais aussi les procédés stylistiques d’opposition (ex : comique vs laid) <3ème Lecture>Dégager champ lexical : les oiseaux/la mer /les caractéristiques péjoratives d’un caractère ou d’une personne Place des mots : un mot au début du vers qui n’a pas la même valeur qu’un mot placé en fin de vers …afficher plus de contenu…
L’identification du poète à l’Albatros a. Procédés stylistiques d’analogie, en particulier la personnification TRANSITION : la réflexion sur les deux derniers vers de l’avant dernière strophe avec le parallélisme l’un/l’autrece parallélisme amène la strophe suivante : le Poèteb. La chute, la rupture au dernier quatrain (premier vers : « Le poète »)c. Le regard méprisant de l’homme i. Les objets/sujets de mépris ii. La nature des adjectifs : comment le mépris est exprimé ?<Rédaction de l’axe>L’intérêt de ce poème réside particulièrement dans l’identification du poète à l’Albatros. Premièrement, Baudelaire se sert ne nombreuses figures de styles pour illustrer cette projection, notamment la personnification. Dans le premier quatrain déjà, le poète personnifie l’oiseau de mer dans le troisième vers : « Qui suivent indolents compagnons de voyage ». Ce n’est que dans les deux dernières strophes que le lecteur comprend que ce poème doit être lu comme