L’amant – texteMarguerite Duras, l’amant, autobiographique et raconte un épisode de sa vie pendant qu’elle vivait dans les colonies francaises, en indochine francaise en l’occurence. Ce livre lui a valu le prix goncourt la meme année de sa sortie soit en 1984 et fut d’ailleurs réécrit d’un tout autre point de vue en 1991.Pour présenter ce livre et pour que vous puissiez réutiliser la référence dans vos dissertations je vais d’abord faire un court résumé pour présenter les bases de l’histoire sans …afficher plus de contenu…

On peut sentir au fil de la lecture que cet amour maternel est quasiment inexistant, elle s’occupe de ses enfants par devoir et non par amour, exepté pour son fils ainé qu’elle aime par dessus tout. Les relations dans la fratrie sont plus simple que les relations avec la mère. Le frère ainé est présenté au début comme un homme brutal par la narratrice, il joue, boit et fume à longueur de journée elle écrit plus tard « je voulais tuer mon frère ainé, je voulais le tuer, arriver à avoir raison de lui une seule fois et le voir mourir …afficher plus de contenu…

Même si vous m’aimez, je voudrais que vous fassiez comme d’habitude avec les femmes ». Leur relation est purement interréssée au moins au début. Mais alors qu’est-ce qui suscite ce désir ?Dans un premier temps, et au début, la relation est interessée, Marguerite Duras, venant d’une famille très modeste est avant tout attirée par son argent elle lui dit « je vous aime comme vous êtes, avec votre argent » quand il lui demande si elle l’aurait aimé si il n’avait pas d’argent, ce n’est pas lui qu’elle désire mais l’argent qu’elle n’a pas pu avoir. Tandis que du côté de l’amant, il cherche seulement une