Lambeaux, charles juliet
I-Le narrateur s’adresse directement à cette jeune fille « Tu es l’aînée et c’est toi qui t’occupes d’elle » Mère de substitution pour ses 3soeurs car svt la « mère est dehors». Elle aimait apprendre et par-dessus tout aimait son professeur comme un père càd d’ « un amour entier, violent, absolu ». « Te ce monde que tu vénères…va soudain ne plus exister » : elle ne peut pas poursuivre études, le lycée de la ville ne la prend pas. « Pour la première fois, il te vient le désir de mourir » « Apprendre. Dans l’unique but de savoir parler. Connaître le plus possible de mots et savoir dire aux autres ce qu’on est, ce qu’on ressent, comment on voit les choses.» « Semaine après semaine tu t’éloignes de l’enfant que tu fus, de ce temps où vivre n’était qu’insouciance, crédulité, confiance, bonheur d’appartenir sans réserve à l’instant. » Veut aller voir son professeur pour lui demander, le supplier de prolonger scolarité. Mais il n’est pas là. Sentiment de honte. « tu doutes que la neige puisse un jour fondre, le printemps revenir, la vie réapparaître. » Soif d’apprendre de ce qui l’entoure puis conscience « Qu’un être humain n’est rien » à l’échelle de l’univers. Comment continuer de vivre en sachant cela ? Incomprise donc elle parle de moins en moins. Son « avenir [l] ‘angoisse ». Un « gai luron » de colporteur s’invite à diner. « Quel destin va t’échoir ? Quelle sera ta vie ? » Angoisse. Elle lit ces quelques mots dans une bible « Faisant dévier mes chemins il m’a déchiré et il a fait de moi une horreur… », mots qu’elle trouve si juste. Elle tient son Journal pour raconter ce qu’elle ne peut confier à personne. « Questions sur toi-même qui ne te laisse aucun répit ». « Atmosphère pesante. Sentiment d’être tjs décalée. » Pique-nique avec ses sœurs. Tu ressens en cette instant combien la vie est belle et bonne. » Questions existentielles fusent et tjs cette volonté de partir renforcée par le sermon du