Lambeaux
« Je crève
Parlez-moi !
Parlez-moi !
Si vous trouviez
Les mots dont j’ai besoin
Vous me délivreriez
De ce qui m’étouffe »
L'auteur, cadet d’une famille de quatre enfants, est alors placé dans une famille suisse suite à l’internement de sa mère dans un hôpital psychiatrique (à cause d’une tentative de suicide). Elle mourra de faim en juillet 1940, le jour de ses 38 ans, victime de "l'extermination douce" orchestrée par les nazis.
Seconde partie : la battante[modifier]
La seconde partie est l'autobiographie de l'auteur. Tout en mettant en parallèle le dévouement de sa mère adoptive, il y décrit son enfance, son amour pour sa famille adoptive, ses études (école militaire d'Aix-en-Provence comme enfant de troupe, service de santé militaire de Lyon puis apprentissage autodidacte de la littérature), et enfin son "éveil à soi-même" : après avoir vaincu sa longue dépression, il devient écrivain et réalise enfin "combien passionnante est la